/
/
/
J’ai donc décidé de profiter du passage de la vie étudiante à la vie active pour effectuer un tour du monde d’un an. Pas encore vraiment impliqué professionnellement et sans charges
familiales, c'est le moment idéal pour partir. Une telle occasion ne se représentera probablement pas de sitôt. Alors autant la saisir pour essayer d'en revenir plus riche de nouvelles expériences.
Autant se lancer, afin d’avoir ensuite des souvenirs plutôt que des regrets.
Naturellement, sans motivation, l'aventure que représente un tel projet risque fort de tourner court. Quelles sont alors mes motivations ? Et bien c’est tout d’abord pour concrétiser le rêve que partagent bon nombre de géographes : voyager, pour découvrir d’autres pays, d’autres cultures, d’autres paysages, pour acquérir des connaissances empiriques sur la marche de notre monde. C’est aussi pour répondre au besoin que j’ai en moi de vivre une aventure exceptionnelle, de faire quelque chose de différent de mon quotidien. « Rester, c'est exister, mais voyager, c'est vivre... », écrivait à la fin du XIXème siècle le chansonnier français Gustave Nadaud. Je ne peux que lui donner raison. Je suis en quête d’aventure. Curieux, je souhaite découvrir ce qui se cache derrière cet arbre, cette maison, l’horizon. Au fond, « un voyage, disait Nicolas Bouvier, se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu'il se suffit à lui-même. Certains pensent qu'ils font un voyage, en fait, c'est le voyage qui vous fait ou vous défait. »
Aussi, ai-je décidé de partir seul. Seul, parce que trouver un partenaire pour un aussi long et « coûteux » voyage à des dates données était difficile. De plus, à plusieurs, il est par expérience difficile de se mettre d’accord sur un itinéraire. Bref, un tour du monde ne se faisant qu’une seule fois dans la vie, j’ai décidé d’avoir toutes les cartes en main pour le réaliser. Seul, parce que c’est la liberté absolue, parce qu’on voyage à son rythme, parce que les expériences liées aux déplacements et aux rencontres sont plus intenses. Seul, parce qu’au fond, on n’est jamais seul : les liens qu’on tisse avec les habitants et les autres routards sont nombreux. Et puis, mieux vaut ne pas aller trop à l'encontre de sa "nature". C’est donc un concours de circonstances, mais aussi un choix délibéré, qui m’a poussé à partir non accompagné.
Voyager pour le plaisir, certes, mais je souhaite aussi joindre l’utile à l’agréable, essayer de tirer profit de mon expérience, en projetant d’une part d’effectuer une étude géographique sur la mondialisation ; d’autre part, de pouvoir partager mon expérience à travers un blog et des articles. A cet effet, je compte observer et m’impliquer. Géographe de formation, les articles que je proposerai seront sans doute variés mais marqués par une certaine sensibilité aux espaces et aux hommes. Ce sera aussi pour moi l’occasion de perfectionner mon anglais et d’apprendre l’espagnol sur le terrain (Argentine, Chili, Pérou, Bolivie, Mexique).
Enfin, mon voyage se veut respectueux de l’environnement et des peuples rencontrés. J’ai choisi, dans la limite de mes possibilités, de compenser mes émissions de gaz à effet de serre en soutenant le programme Action Carbone, qui propose un véritable accompagnement pour calculer, réduire et enfin compenser ses émissions de CO2 à partir de l’empreinte écologique de ses déplacements aériens.
Paysages, rencontres, découvertes, liberté, mobilité, écriture, photos, apprentissage… C’est tout ce que j’aime et ce qui me motive !
Naturellement, sans motivation, l'aventure que représente un tel projet risque fort de tourner court. Quelles sont alors mes motivations ? Et bien c’est tout d’abord pour concrétiser le rêve que partagent bon nombre de géographes : voyager, pour découvrir d’autres pays, d’autres cultures, d’autres paysages, pour acquérir des connaissances empiriques sur la marche de notre monde. C’est aussi pour répondre au besoin que j’ai en moi de vivre une aventure exceptionnelle, de faire quelque chose de différent de mon quotidien. « Rester, c'est exister, mais voyager, c'est vivre... », écrivait à la fin du XIXème siècle le chansonnier français Gustave Nadaud. Je ne peux que lui donner raison. Je suis en quête d’aventure. Curieux, je souhaite découvrir ce qui se cache derrière cet arbre, cette maison, l’horizon. Au fond, « un voyage, disait Nicolas Bouvier, se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu'il se suffit à lui-même. Certains pensent qu'ils font un voyage, en fait, c'est le voyage qui vous fait ou vous défait. »
Aussi, ai-je décidé de partir seul. Seul, parce que trouver un partenaire pour un aussi long et « coûteux » voyage à des dates données était difficile. De plus, à plusieurs, il est par expérience difficile de se mettre d’accord sur un itinéraire. Bref, un tour du monde ne se faisant qu’une seule fois dans la vie, j’ai décidé d’avoir toutes les cartes en main pour le réaliser. Seul, parce que c’est la liberté absolue, parce qu’on voyage à son rythme, parce que les expériences liées aux déplacements et aux rencontres sont plus intenses. Seul, parce qu’au fond, on n’est jamais seul : les liens qu’on tisse avec les habitants et les autres routards sont nombreux. Et puis, mieux vaut ne pas aller trop à l'encontre de sa "nature". C’est donc un concours de circonstances, mais aussi un choix délibéré, qui m’a poussé à partir non accompagné.
Voyager pour le plaisir, certes, mais je souhaite aussi joindre l’utile à l’agréable, essayer de tirer profit de mon expérience, en projetant d’une part d’effectuer une étude géographique sur la mondialisation ; d’autre part, de pouvoir partager mon expérience à travers un blog et des articles. A cet effet, je compte observer et m’impliquer. Géographe de formation, les articles que je proposerai seront sans doute variés mais marqués par une certaine sensibilité aux espaces et aux hommes. Ce sera aussi pour moi l’occasion de perfectionner mon anglais et d’apprendre l’espagnol sur le terrain (Argentine, Chili, Pérou, Bolivie, Mexique).
Enfin, mon voyage se veut respectueux de l’environnement et des peuples rencontrés. J’ai choisi, dans la limite de mes possibilités, de compenser mes émissions de gaz à effet de serre en soutenant le programme Action Carbone, qui propose un véritable accompagnement pour calculer, réduire et enfin compenser ses émissions de CO2 à partir de l’empreinte écologique de ses déplacements aériens.
Paysages, rencontres, découvertes, liberté, mobilité, écriture, photos, apprentissage… C’est tout ce que j’aime et ce qui me motive !