C’est à Neuchâtel que je découvre le monde pour la première fois. C’était un certain 22 septembre, un jour d’équinoxe d’automne. Très vite, des cartes de géographie vont orner les murs de ma
chambre. Je connaissais alors par cœur le nom de toutes les mers, de tous les pays et de leurs capitales. Je rêvais de voyager et m’imaginais planer au dessus de toutes ces
taches multicolores.
Ce sont nul doute mes parents qui m’ont donné le virus des voyages. Pays-Bas, Italie, Angleterre, Grèce, Espagne… J’ai visité grâce à eux de nombreux pays d’Europe. Ce continent
est d’ailleurs celui que je connais le mieux pour l’instant. Je l’ai entre autres parcouru par deux fois en train - une fois seul, l’autre fois accompagné d’un ami – en direction des pays de
l’Est et des Balkans.
Passionné par la géographie, mais aussi par le journalisme et l’histoire, j’entreprends après ma maturité des études dans ces domaines à l’Université de Neuchâtel, où j’obtiens mon
Master en février 2009.
Ma formation en géographie s’est particulièrement concentrée sur les nouvelles formes d'urbanisation et d'urbanisme, l’aménagement du territoire, les mobilités (migrations,
mobilité quotidienne, etc.) et le développement durable. J’ai eu en outre l’occasion d’effectuer diverses études de terrain en Suisse (Neuchâtel, Alpes) et en France (Drôme, Paris), ainsi qu’un
stage au sein de l’ATE (Association Transports et Environnement). Basée en Suisse, cette organisation vise à favoriser l'utilisation des différents modes de transports dans une optique durable et
responsable, notamment en milieu urbain. J'ai également collaboré avec l'Association pour un Parc naturel régional du Doubs.
En journalisme et communication, mon cursus a été marqué par des stages en France (au National Geographic et à l’Agence France-Presse) et en Suisse (à L’Express de Neuchâtel et
au Temps de Genève). Au carrefour de ces deux disciplines, mon mémoire – effectué à Paris, une ville je connais bien – a porté sur l’apparition de la presse gratuite en lien avec les nouvelles
pratiques de mobilité.
De l’Antiquité à l’Epoque moderne en passant par le Moyen Age et la Renaissance, je suis également un grand passionné d’histoire. Toutes les périodes m’intéressent
dans le sens où elles sont toutes étroitement liées à la géographie. « L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace », disait le
géographe français Elisée Reclus. L’histoire retrace par ailleurs les événements qui ont fait l’actualité par le passé. Géographie, journalisme et histoire sont donc plus que jamais liés.
Mes autres centres d’intérêts son, en vrac : le cinéma latin, la photographie, Internet (je suis le webmaster de trois sites), la politique, la musique et le football.